Marché du pétrole nerveux
Perpétré, jeudi 27 mars, sur un oléoduc irakien près de la ville de Bassorah, un sabotage a affecté les exportations de pétrole du pays. Du coup le prix du baril a culminé au-delà de 107 dollars.
Si les combats s'intensifiaient, les experts craignent une paralysie totale des exportations irakiennes : 90% du pétrole irakien exporté transite en effet par la ville portuaire de Bassorah, sur le Golfe.
Question : Avec une production d'environ 2 millions de barils par jour, l'Irak occupe le quinzième rang parmi les producteurs de pétrole. L'hypothèse d'atomicité (de la purée parfaite....) est-elle respectée sur le marché du pétrole ?